18/11/2015
Face à l'effroi
Ah que n'ai-je la force d'écrire d'avantage
décrire mieux qu'il m'est possible
face aux regards de toutes les victimes tues
des guerres qui n'ont jamais cessé...
Tout le temps avec nous et après nous
les enfants.
12:51 Publié dans poésies | Lien permanent | Commentaires (0)
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