12/03/2017
"Le changement c'est maintenant."
Les surplus de richesses matérielles que s'accaparent ceux qui sont moins nombreux
privent tous ceux qui manquent
de nourriture
de logement
de soins
de possibilité de vivre dignement
ceux qui consomment trop font le malheur des autres - et d'eux-mêmes aussi mais ils l'ignorent
mais ceux qui ferment les yeux vont être vite rattrapés : il sera alors trop tard.
A côté ceux qui n'ont pas assez souffrent et font le plus souvent ce qu'ils peuvent
Et ce sont eux qu'on montre encore du doigt ? Indécence obscène sans limite.
Que font les armées ?
Observons les armées de chaque nation et nations alliées selon, et leur comportement.
Pourquoi selon la géographie on dit tantôt ethnie, tantôt peuple ?
Pourquoi d'un bord le terme expatrié, de l'autre celui de migrant ?
Qui mène le monde ? Qui l'a construit ainsi ? Qui sont ces gens qui ont conduit l'humanité entière au pied du mur ? Qui décide ?
Est-ce une majorité des gens ?
L'argent correspond à quoi ? Quelle monnaie ? Quels secrets des monnaies ?
L'argent n'est pas la providence.
Rapports Nord/Sud Sud/Nord Est/Ouest Ouest/Est, et les rapports à l'intérieur de chaque pays entre chacun chacune, avec leurs rouages, clés des problèmes de l'humanité et de l'écologie.
Aujourd'hui il n'y a d'autre choix que le partage et la redistribution : ou personne ne s'en sortira vivant.
Les possédants qui le nient par cupidité et soif de domination mentent à leurs propres enfants qui, s'ils ne changent pas les choses rapidement, ne pourront connaître de petits enfants.
L'humanité n'a d'autre voie qu'un sursaut de générosité. Inverser les courants. Se sentir responsables les uns des autres.
La consolation, pour qui garde la foi quoi qu'il advienne, est qu'il y a probablement un après, où les choses de chacun chacune seront réglées, en fonction.
Cela ne change pas le fond des problèmes, ni notre responsabilité en fonction de nos moyens. C'est ici et à chaque instant que nous vivons avec nos prochains.
Le changement c'est rapidement, ou sinon la fin.
09:52 Publié dans états d'âme ou/et réflexions | Lien permanent | Commentaires (4)