L'écologie est notre logis, c'est bien, elle tourne rond comme la planète, alors sans tourner en rond autour du pot...
Au nom de l’authentique hulotte. L'animal déchante dans un cri la douleur du petit monde vivant, celui qu'on ne voit plus, à cause du temps qu'on a fait d’argent sale menant le monde. Celui fait de biodiversité qui nous fit enfant puis homme/femme, qu’on oublie petit à petit, mais qui se rappelle toujours à nous en vie. En temps et en heurts, quand par malheur on le détruit, on se détruit nous mêmes. Quand une abeille meurt, ce sont des fleurs qu'on ne voit plus. Je ne vote pas TFin mais l'éco logis, pour que vivent les éco systèmes, l'avenir des grands et tous petits.
Voix à l’alimentation saine, pour le goût, et pour le souhait de ne plus avaler des trucs empoisonnés, ou qui ont été modifiées sans y penser, et à la terre nourricière qu'on appauvrit progressivement et qu’on pollue massivement sans qu'on ne puisse plus parler de progrès à moins de trafiquer.
Voix à la terre de campagne aux animaux et à la mer des globicéphales, et à ceux qui avaient compris bien avant que ça n'arrive, qu'on n'a pas écoutés, et à ceux qui nous murmurent encore à l'oreille, quand on ne l'a pas mise en gage, comme dans un coquillage, de prendre garde, de faire attention à nos gaffes car elles provoquent les drames... Et à toutes les victimes d'hier, qu'on n’entendra plus, et à celles d'aujourd'hui, qu'on refuse d'entendre, de voir, d’admettre... Voix en pensée à leurs voix isolées, tues et ignorées, à toutes celles qui ont été volées.
Voix tous les jours, à la nature, pas aux ordures, même pas à l'or, ni même aux murs, mais à l'air pur... Voix dès hier, à aujourd'hui, au futur. A l'énergie modérée des airs, des mers, et du solaire. A l'humanité solidaire, aussi. Surtout. Stop aux massacres de masse organisés, aux idées malthusiennes réactivées puissance dix.
Il ne faut pas se mentir : tant que ceux qui ont trop ne partagent pas, bon gré ou mal gré, et que ce système continue fuite en avant à faire crever la plupart, nous courons à la catastrophe, tous ensemble, tous ensemble (...)
On n'en fera pas l'économie, il faudra bien les arrêter, reprendre ce qu'ils ont pris en trop aux autres, comme à la terre. Depuis des Siècles. Et le plus tôt sera le moins pire.