Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/07/2016

Vers l'autre

Courbes de chaises en osier
se balancent à la compagnie
musicales
parmi le monde

tans de gens cheminent
se prennent par la main
s'échinent.

Possession sans limite, confiscation
quand possédés par la cupidité.

Ronde à la longue redonne.

Murmure contre le vent atone
brise les mauvais sort en symphonie
douce et têtue
persiste.

Les nouvelles sombres se répandent
on sème guerres, misère et désolation.

Oiseau du temps proche
fais un nid à l’intérieur, des brindilles
pour y blottir et réconforter
les laissés pour comptes absurdes.

Solitudes parlons-nous, prenons courage
pour le repartage.

14:18 Publié dans poésies | Lien permanent | Commentaires (3)